VII
Elle vidéophona à Dieudonné pour lui rendre son livre.
Celui-ci savait très bien se maîtriser ou attendait son appel, car il ne montra
aucune surprise. Julie préférait, tout de même, la première hypothèse.
Ils se fixèrent un rendez-vous dans un café.
Quand il se l’aperçut, il se leva avec aisance.
« Bonjour, ça me fait plaisir de te voir.
–
bonjour.
–
Tu l’as lu ?
–
Non.
Il aurait été difficile de ne pas remarquer son air buté ou,
plutôt, déterminé. Il reprit :
« Alors, qu’est ce que tu comptes faire ?
–
Je m’en vais. J’étouffais. Mon père, surtout….
Enfin, voilà. »
Elle poussa le livre vers lui. Il regarda son verre de jus
d’orange puis ses mains.
« tu sais, ça va peut-être te surprendre ce que je vais
te dire ou peut-être pas. Je t’aime… (il essaya (timidement ?) d’accrocher
son regard) beaucoup. On se fréquente de temps en temps… tu ne me connais pas
bien. Faut dire, t’as beaucoup d’amis… ça me fait un peu de mal que tu
partes. »
Julie détourna la tête.
« Tu me trouves ridicule… »
il tripota son verre.
« Bon, il est préférable que je m’en aille. »
Il se leva rapidement.
« Reste » lui intima Julie. Il se rassit.
« Tu es juste différent. Et tu sais… quelque part, j’ai
compris. »
ils échangèrent un regard (et se le rendirent !)
« J’ai besoin de partir, mais ça ne te vise pas. Je
peux le prendre ? » lui demanda t’elle en montrant le livre.
« Bien sûr » elle l’embrassa et partit. L’un s’en
allait, l’autre restait, mais chacun devait affronter l’inconnu. Julie, dans la
fusée commerciale qui l’emmenait sur Mars, avait entamé le livre de Dieudonné.
Il parlait de mondes ou de présents parallèles.
Une pensée traversa sans raison (enfin apparemment la raison
étant que je le veux) l’esprit de Julie :
« Peut-être y avait-il finalement quelqu’un qui, là
haut, dans le ciel, l’observait ? »
En ce qui la concernait, elle n’avait sans doute pas tort,
car il y a deux personnes qui l’observent : toi qui lit et moi qui écrit.
MAIS NOUS ? NOUS ?
QUI
NOUS OBSERVE ?
Vous n\’avez pas lu l\’ouvrage de 30.000.000 d\’amis, pour parler d\’un raprochement entre la Françe la chine, entre la liberté relative & la non liberté, achetez vous le N° 250 de l\’ouvrage ci dessus, voyez comment ils traitent ce que nous appelons le meilleur ami de l\’homme, après nous pourrons parler du raprochement de ces deux pays.
Vous parlez de bouddhisme, avez vous lu la vie de bouddha & la manière qu\’il s\’est nourris toute sa vie.
Vous devriez aller voir un site vous tapez dans Google " Pir Zadé Hazrat Inayat Khan" je pense que cela va dévier un peux votre pensée; s\’il existe toujours, achetez vous "le dossier Lotus (thibet 1959) de Costa de Loverdo" je crois que les hommes oublient trops vite ces choses qui sont si importante.
Je fais moi même de l\’ordre soufi internationale. tant que vous n\’aurez pas lu le site ue je vous indique vous ne pourez pas savoir ce que c\’est.
Amicalement.
Gépéto.
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Je me marie bientôt avec ma copine chinoise, j\’ai des amis chinois. le rapprochement avec la Chine, pour moi c\’est du concret, de l\’affectif, je ne me hâte pas de juger les autres avec mes valeurs occidentales… Pascal disait : "vérité en deça des pyrénnées, mensonge au-delà"… la vérité est relative. pour ce qui est du bouddhisme, je le vis le bouddhisme zen ou t\’chan (en chinois) depuis que j\’ai l\’âge de 15 ans, là encore pour moi ce ne sont pas des mots, mais ma chaire.
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