Mardi 24 Juin :
Ce matin… je me sens vidé de toute passion.
Etendu dans mon lit, je respire… péniblement.
J’ai abandonné tout doute, toute certitude.
Ecrire, seulement, les derniers mots, si proches du rien,
Que je voudrais si proche du tout…
Le vide m’emplit et me soutient… m’ôte tout désir…
Inutile.
Près de la source, je suis.
Isabelle arrive, la mort aussi.
Une goutte, ploc
Sinue rejoins
L’égout.
hm, hm… voyons voyons…
la nouvelle surprise du chef ?
une nouvelle qualité de moquette ?
à moins que ce ne soit la nouvelle prose sur les anges aux vies de vices et vides de vertus aux délices coquins tant attendue ?
attendons… comme le rat tapi guettant la goutte rattrappé de la source tarie égarée…
attendons comme le chat sans pouvoir du shah cherchant la souris perdant son pouvoir d\’achat de tapis
attendons la clochette cachée derrière le rat tapis guetté par le chat perché sur la souris déchue dépîtée
attendons ainsi la suite située sous la suie du tapis du chat perché
attendons le bonbon bonhomme acidulé goût bonne pomme du lecteur au désir aiguisé…
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ah ! joli !!! 🙂
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Tu m\’a fait peur, au début, je pensais que c\’est toi, en fact c\’est ton histoire.
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Tu m\’a fait peur, au début, je pensais que c\’est toi, en fact c\’est ton histoire.
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oui ma chérie, c\’est mon histoire :-), l\’histoire d\’un vieil homme écrivain qui est sur le point de mourir 🙂
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ouf ! merci au papillon qui d\’un battement d\’aile a fait appel à la précision… nouvelle histoire, dommage pour une fois, de connaître la tragique finde ce vieil homme… attendons la suite que je m\’en vais lire illico !
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