IV
Après tant d’émotions, il partit en vacance, tout seul dans les
Alpes.
Chez René, la marche était une activité essentielle, et
l’écriture aussi. Il avait des amis, mais profondément, il était alors un
solitaire. Se retirer, réfléchir, discuter étaient si j’ose dire, les 3
mamelles de sa vie.
Alors qu’il crapahutait entre Grande Casse et Grande Motte,
il reçut une carte postale de sa mère à une poste restante. Elle lui signifiait
qu’il était accepté à l’école de commerce, malgré son échec à l’oral.
René n’eût pas à cacher sa joie, il n’était pas joyeux.
Sur le moment, il ne comprit pas cette indifférence, ou
mieux encore, cette réserve, par rapport à un succès qu’il avait tout au long
de l’année tant désiré.
René rentra, à regret, comme toujours, sur Angers. Il se
sentait sur la défensive et voyait se profiler avec une inquiétude sourde la
rentrée prochaine, inquiétude renforcée par l’idée du bizutage ou semaine
d’intégration en langage politiquement correcte.
IVème chapitre… mais quelles sont donc les émotions que rené a-t-il pu bien vivre pour partir dans cet école alors même que son désir n\’y correspondait pas hm ?!!!
j\’espère que tes vacances se passent bien (ou au passé peut-être ?!) et que tu en as bien profité avec ta petite femme… j\’ai cru comprendre que vous étiez partis au bord de l\’eau ? avec du soleil au moins ?!!!! bz et à bientôt !
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tu n\’auras pas attendu longtemps pour connaître ce qui a causé toutes ces émotions ;-).
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